Kobe Bryant, 41 ans, est décédé ce dimanche 26 janvier dans un accident d’hélicoptère, impliquant 8 autres personnes dont sa fille Gianna. L’unification du sport à son paroxysme.
Le basket n’est pas en deuil mais le sport l’est. Kobe Bryant était le basket à lui seul, il manquera terriblement au monde de ce sport qui n’a cessé de souffrir ces derniers jours. Le décès de l’iconique numéro 24 des Lakers a en effet fait couler des flots de larmes jaunes et violettes à travers la planète, nous laissant le sentiment d’avoir perdu un proche qui ne nous a jamais vraiment quitté, de voir un exemple de vie et de travail disparaître brutalement.
Foudroyé·es par un orage de frustration, les amoureux·ses du basket ont dû regarder s’envoler une précision glaciale de réalisme, une justesse technique hors normes et une créativité sans limite.
L’impression qu’il était immortel du moment qu’il avait les pieds sur le parquet, Kobe Bryant, comme icône du sport, part avec un quintuple titre de champion NBA, 2 médailles olympiques avec les États-Unis. Il est difficile d’évoquer Bryant sans mentionner son duo historique avec Shaquille O’neal qui a fait l’âge d’or des Lakers des années 2000.
Le souvenir d’un joueur inarrêtable gravé dans nos mémoires, Kobe n’était pas un de ces simples héros qui passent et viennent à tour de rôles mais bel et bien une légende qui, dans nos cœurs, ne s’est jamais éteinte.
Par Augustin Lassaussois, TS2